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En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus. 

Le titre et le synopsis sont trompeurs. Je suis totalement passé à coté de ce film. Brad Pitt et Léo Di Caprio y sont excellents, mais je n'ai pas compris où le réalisateur venait en venir. Je croyais à tort que le réalisateur souhaitait traiter d'Hollywood. Après tout, le film se concentre sur un acteur sur le déclin et de sa doublure. Mais que viennent faire ces hippies dans cette histoire. Il me manquait tout le contexte historique pour comprendre l'oeuvre de Tarantino. Je serai curieux de le revoir à nouveau pour mieux le juger. N'empêche, si le film ne se suffit pas en soi pour en comprendre ses références, c'est qu'il pêche un peu quelque part.

Depuis que Hobbs, fidèle agent de sécurité au service diplomatique des Etats-Unis, combatif mais droit, et Shaw, un homme sans foi ni loi, ancien membre de l’élite militaire britannique, se sont affrontés en 2015 dans Fast & Furious 7 ; les deux hommes font tout ce qu’ils peuvent pour se nuire l’un à l’autre. Mais lorsque Brixton, un anarchiste génétiquement modifié, met la main sur une arme de destruction massive après avoir battu le meilleur agent du MI6 qui se trouve être la sœur de Shaw. Les deux ennemis de longue date vont devoir alors faire équipe pour faire tomber le seul adversaire capable de les anéantir.

Je ne suis pas trop fan de Fast and furious mais ne connais que les premiers volets. Dans un moment d'égarement, j'ai atterri devant ce film. Et bien, ils en mettent tellement plein les yeux dans le spectaculaire que je me suis pris au jeu. On dépose son cerveau pour 2h, juste pour ce plaisir coupable. Le duo fonctionne plutôt bien, si bien qu'on passe un moment pas si désagréable que ça. 

À la fin des années 2000, alors que le monde craint que l'Iran ne se dote de l'arme atomique, Rachel, ex-agente du Mossad infiltrée à Téhéran, disparaît sans laisser de trace. Thomas, son référent de mission, doit la retrouver entre Orient et Occident, car Rachel doit revenir à tout prix sous le contrôle de l’organisation… ou être éliminée.

Enchaîner deux films d'espionnage coup sur coup permet de mettre en exergue les lacunes du film de Besson. The operative est, lui, bien plus crédible. Cela se veut moins fun mais on a cette fois de l'empathie pour l'héroïne, on vibre avec elle.  Le film remplit le cahier des charges du bon film d'espionnage.

Au fond de la savane africaine, tous les animaux célèbrent la naissance de Simba, leur futur roi. Les mois passent. Simba idolâtre son père, le roi Mufasa, qui prend à cœur de lui faire comprendre les enjeux de sa royale destinée. Mais tout le monde ne semble pas de cet avis. Scar, le frère de Mufasa, l'ancien héritier du trône, a ses propres plans. La bataille pour la prise de contrôle de la Terre des Lions est ravagée par la trahison, la tragédie et le drame, ce qui finit par entraîner l'exil de Simba. Avec l'aide de deux nouveaux amis, Timon et Pumbaa, le jeune lion va devoir trouver comment grandir et reprendre ce qui lui revient de droit…

Visuellement bluffant (c'est magnifique), dans la même veine que Le livre de la jungle, mais en plus abouti techniquement encore, ce nouveau Disney Live est un bon cru et un dépaysement assuré Avec le recul, je lui préfère tout de même Aladdin (en VO uniquement) mais on redemande des adaptations de cette qualité.

Les Matriochka sont des poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres. Chaque poupée en cache une autre. Anna est une jolie femme de 24 ans, mais qui est-elle vraiment et combien de femmes se cachent en elle ? Est-ce une simple vendeuse de poupées sur le marché de Moscou ? Un top model qui défile à Paris ? Une tueuse qui ensanglante Milan ? Un flic corrompu ? Un agent double ? Ou tout simplement une redoutable joueuse d’échecs ? Il faudra attendre la fin de la partie pour savoir qui est vraiment ANNA et qui est “échec et mat”.

Un film d'espionnage qui se laisse regarder, mais qui reste en deçà de la production cinématographique actuelle. Certaines scènes sont gratuites, juste là pour le fun, en totale contradiction avec les personnages qu'on cherche à brosser. Surtout, les relations simultanées qu'entretient l'héroïne avec plusieurs personnages ne sont pas du tout convaincantes.

Hier tout le monde connaissait les Beatles, mais aujourd’hui seul Jack se souvient de leurs chansons. Il est sur le point de devenir extrêmement célèbre. Jack Malik est un auteur-compositeur interprète en galère, dont les rêves sont en train de sombrer dans la mer qui borde le petit village où il habite en Angleterre, en dépit des encouragements d’Ellie, sa meilleure amie d’enfance qui n’a jamais cessé de croire en lui. Après un accident avec un bus pendant une étrange panne d’électricité, Jack se réveille dans un monde où il découvre que les Beatles n’ont jamais existé… ce qui va le mettre face à un sérieux cas de conscience.

Ici, le scénariste a pris le pas sur le réalisateur. On sent davantage la patte de Richard Curtis que celle de Danny Boyle. Il s'agit bien d'une comédie romantique pur jus, avec un scénario qui évoque forcément pour les Français une autre uchronie, le film Jean-Philippe de Laurent Tuel. Sauf qu'ici, point de Johnny, ce sont les Beatles qui n'ont jamais existé. Il est sincèrement difficile de ne pas adhérer à ce film.  Les chansons des Beatles sont superbement réorchestrées. A peine sortie de la salle, on a juste envie de réécouter les Beatles. Et le couple d'amoureux est charmant, alors que veux tu de plus ?

Entre 1914 et 1918, un conflit mondial change à jamais le cours de l’histoire. Les hommes et femmes qui y ont participé ne vivaient pas dans un monde silencieux, en noir et blanc. Faites donc un voyage dans le temps pour revivre, comme si vous y étiez, ce moment majeur de l’histoire

Ce documentaire est intéressant à plus d'un titre. Tout d'abord, il prend un point de vue anglo-saxon (exit les Français, à peine évoqué). Cela pourrait déranger de résumer la 1ere guerre mondiale à un conflit entre les Anglais et les Allemands, mais on a suffisamment vu le point de vue français pour qu'on puisse s’intéresser à d'autres points de vue. Ensuite, le film s’intéresse au vécu du soldat, et ne se base que sur des témoignages oraux que le réalisateur illustre par des images colorisés. Cela dérange au début, mais on se fait finalement au procédé car le film réussit sa mission première, comprendre ce qu'ont vécu les soldats. J'ai notamment aimé comment ces soldats ont vécu la fin du conflit, avec ce sentiment de ne plus avoir d'utilité, de ne pas être compris par les civils.

L'araignée sympa du quartier décide de rejoindre ses meilleurs amis Ned, MJ, et le reste de la bande pour des vacances en Europe. Cependant, le projet de Peter de laisser son costume de super-héros derrière lui pendant quelques semaines est rapidement compromis quand il accepte à contrecoeur d'aider Nick Fury à découvrir le mystère de plusieurs attaques de créatures, qui ravagent le continent !

Le premier Spider-man du MCU m'avait profondément ennuyé, j'ai donc été surpris par ce second volet, plutôt rafraîchissant. C'est un peu un soulagement  (ou pas) car on se doute que Spider-man est l'avenir du MCU. Néanmoins, une fois le méchant découvert, l'histoire perd beaucoup de son intérêt.

Woody a toujours privilégié la joie et le bien-être de ses jeunes propriétaires – Andy puis Bonnie – et de ses compagnons, n’hésitant pas à prendre tous les risques pour eux, aussi inconsidérés soient-ils. L’arrivée de Forky un nouveau jouet qui ne veut pas en être un dans la chambre de Bonnie met toute la petite bande en émoi. C’est le début d’une grande aventure et d’un extraordinaire voyage pour Woody et ses amis. Le cowboy va découvrir à quel point le monde peut être vaste pour un jouet…

On ne change pas une équipe qui gagne. Le 4ème épisode reprend les mêmes recettes, et ça fonctionne toujours autant. Encore une fois, Pixar réussit à nous émouvoir.

Jeune prodige du célèbre ballet du Kirov, Rudolf Noureev est à Paris en juin 1961 pour se produire sur la scène de l'Opéra. Fasciné par les folles nuits parisiennes et par la vie artistique et culturelle de la capitale, il se lie d'amitié avec Clara Saint, jeune femme introduite dans les milieux huppés. Mais les hommes du KGB chargés de le surveiller ne voient pas d'un bon œil ses fréquentations "occidentales" et le rappellent à l'ordre. Confronté à un terrible dilemme, Noureev devra faire un choix irrévocable, qui va bouleverser sa vie à jamais. Mais qui va le faire entrer dans l’Histoire.

Il manque beaucoup de choses à ce film. On s'ennuie cruellement par le manque de rythme et le côté poussiéreux. On se demande ce que les acteurs français font là, notamment Adèle Exarchopoulos et Raphael Personnaz, particulièrement décevants dans leur interprétation. Si la note n'est pas plus salée, c'est que l'intérêt surgit à la fin, lors de la scène dans l'aéroport, où le suspens d'un éventuel passage à l'ouest nous captive soudainement.